Simon Hureau “fait des bouquins de bande dessinée en gros depuis 2002.
Récits de voyages, (Palaces, Bureau des prolongations, Formol…) fictions contemporaines,
(Intrus à l’étrange) incursions dans le monde de la jeunesse, (la nuit des cages,
L’empire des hauts murs…).
Ainsi qu’une exploration soutenue d’un versant obscur plutôt bien garni
("Tout doit disparaître", "Colombe et la horde", "Hautes œuvres", "Aspic voisine"…)
Du reste, ces productions s’accompagnent d’un goût avéré pour le dessin, l’estampe,
la peinture et le croquis.
Ce dernier m’ayant fait poser un pied dans l’univers du carnet de voyage,
et des productions collectives des amis “carnettistes tribulants”, après quelques carnets
autoproduits ou réalisés avec les copains des art-décos strasbourgeois de l’Institut Pacôme.
Installé en Val de Loire tourangeau depuis 2009, et vraisemblablement moins productif
depuis, mais quoi, "les travaux de la maison ne vont pas se faire tous seuls !"
Aux éditions Jarjille, il a publié le livre "L’arbre aux asticots" dans la collection BN²,
ainsi que "Egratignures".